2010 achevée, on peut désormais se tourner vers 2011. Et franchement, cette nouvelle année nous réserve de drôles de surprises. Petite sélection (réalisée par un disciple de Paul le poulpe). . Un membre de Sexion d’assaut fera son coming out….
Lire la suiteIl trouve ça très con. Cette phrase toute faite selon laquelle « on devient un homme quand on perd un parent ». Lui se sent comme un gosse. Le temps qui reste s’étiolant, Il s’est replongé à cœur perdu dans son enfance. Non,…
Lire la suiteEst-ce que tu veux être ma femme ? Il a donc posé la question. Elle est fatiguée. De devoir répondre, expliquer, argumenter, encore. Elle pensait avoir bien géré au fil du temps, distillant régulièrement le discours anti-mariage (comprendre anti-robe meringue, anti-se…
Lire la suiteIl est fatigué. Toute cette agitation, depuis tant d’années. Des mouvements et des bruits, continus, autour de lui et dans sa tête. Il voudrait juste se poser. Ne plus réfléchir, ne plus décider, ne plus regretter, ne plus choisir, ne…
Lire la suite-Mon loulou, demain en classe, il y aura une minute de silence. -Ah, pourquoi ? -Parce qu’aujourd’hui trois enfants sont morts dans une école, un papa aussi, tués par un homme armé, un criminel, qui avait déjà tué trois personnes la…
Lire la suiteLes infos avaient tourné en boucle. Des heures et des heures de live, d’articles, de post, de commentaires, d’avis, de jugements, d’images, d’interview, d’experts, de déclarations, d’information, de désinformation, d’analyses et de vide.
Lire la suite463, 464, 465, 466 ! Ouf, enfin fini de poster ces tweets et par là de remplir ses obligations judiciaires. Ca n’avait pas été une mince affaire. Parce qu’ils sont bien gentils les juges, mais ils auraient quand même pu s’enquérir…
Lire la suiteCe n’est parti de rien. Il y avait ces mains qui se sont effleurées, des gestes paternalistes, bienveillants peut-être mal interprétés d’un côté. Il y avait ce regard vide, cherchant un endroit où se poser, ce teint blafard qui ne…
Lire la suiteLe fauteuil avait été posé là, dans la rue, hier soir. Quatre bras l’avaient porté depuis la cave jusque devant l’immeuble. Deux appartenaient à Monsieur Pierre, celui qui s’était assis sur son cuir pendant des dizaines d’années, les deux autres…
Lire la suitePlus de soulèvement ni de grève, plus de blocus dans les fumées de merguez. L’espèce humaine avait muté. Il s’était toujours demandé d’où avait pu venir chez certains cette faculté à se dresser contre les murs en criant assez fort…
Lire la suiteDes applaudissements à n’en plus finir. D’ailleurs, au bout de quelques minutes, on n’a plus vraiment l’impression qu’il s’agit d’applaudissements. C’est un bruit continu, indescriptible, entre le froissement simultané de centaines de feuilles de papier et le travail de cuisson…
Lire la suiteNon mais chéri, tu ne peux pas rester à la maison en permanence. Il te faudrait une gentille fille pour s’occuper un peu de toi tu sais. A ton âge tu devrais y songer. Non, il n’y a pas que…
Lire la suiteIl s’agit de l’une de ces idées qui jaillissent lors d’une soirée arrosée. Un peu insensée, baignée dans l’alcool, mais pas irréalisable. Un week-end entre potes dans les Vosges en plein automne dans l’ancienne maison de famille, celle de mes…
Lire la suiteMais vas-y, approche, encore, viens plus près jeune inconscient. Caresse ma surface d’huile, prends le pouls de mes courbes chaloupées. Sens ma force quand je m’abats sur toi. Plisse les yeux quand je t’éblouis, ferme les quand tu t’enfonces en…
Lire la suiteToute cette effervescence, cette fascination, en ce moment c’est simple vous ne pouvez pas me rater, je suis partout. T-shirt, bijoux, produits dérivés en tout genre, s’il vous arrive de faire trois pas sans tomber sur moi, alors faites moi…
Lire la suite“Madame, Monsieur, bonsoir. Au sommaire de ce journal, la finale de la Coupe de France entre Monaco et le PSG dans quelques minutes…”
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